Le projet Haarp et ce qu'il cache
Installé le 28 août 2002 et mis à jour le 29 et le 1° septembre 2002 (en fin de page)
Résumé du dossier composé par Luc Mampaey,
ingénieur commercial
attaché de recherche au GRIP (Groupe de Recherche et d'Information
sur la Paix et la sécurité)
Adresse du GRIP : rue Van Hoorde, 33, B-1030 Bruxelles.
L'ensemble du dossier (pdf), intitulé "Le programme Haarp, science ou désastre ?" peut être téléchargé : http://www.grip.org/pub/rap/rg98-5_haarp.pdf.
Le site de HAARP
Comme me l'écrivait récemment un collègue canadien les concepts de base du projet Haarp (High Frequency Active Auroral Program) et ses différentes applications ne sont pas nouveaux et datent des années... soixante. Mais apparemment une sorte de maturation s'en effectuée (en quarante années). La technologie a progressé et des choses sont maintenant possibles. C'est comme pour le vol hypersonique (voir "les mystères du B2"). Comme je l'expliquerai dans un livre "OVNI, le voile se déchire" qui sortira en janvier 2003 (pour une simple question de programmation éditoriale) le vol hypersonique est devenu une réalité après des décennies de maturation de diverses technologies principalement fondées sur la MHD. Seuls les Américaisn et les Russes avaient continué à cravacher dans ces secteurs-là. Pour Haarp c'est la même chose. Nous, le européens, découvront un nouveau secteur où nous sommes une fois de plus "hors jeu". Il est vrai que les progrès de la techno-science militaire mettent en jeu à notre époque une stratégie psycho-sociologique nouvelle : la désinformation. Il est impossible de maintenir une chape de secret sur un domaine quel qu'il soit pendant des décennies. Seule une désinformation active permet de tenir les curieux au large et c'est le phénomène le plus étonnant de l'époque contemporaine. C'est pareil dans tous les domaines. Haarp n'est que la partie émergente d'un autre iceberg.
Que faire quand on a la possibilité technique et scientifique de prendre en avance considérable sur le reste du monde en violant au passage de nombreux traités internationaux (mentionnés dans l'étude de Mampaey, et concernant le respect de l'environement, sous toutes ses formes). Avant tout, le cacher. Cela fait très mauvais effet de passer pour l'impérialiste de service, de montrer qu'on serait capable d'écraser n'importe quel autre pays, n'importe où, n'importe quand. Des lecteurs m'écrivent "mais si les Américains avaient des bombardiers hypersoniques à très long rayon d'action, pourquoi utiliseraient-ils encore leurs vieux B-52 ?". Pour des tas de raisons. Primo ces B-52 suffisent largement. A l'altitude où ils opéraient les fusées sol-air des Talibans ne pouvaient pas leur faire grand chose. Secondo ils sont capables d'emporter les mêmes équipements de bombardement que les super-engins secrets. Radars à synthèse d'ouverture, bombes programmées. Ils ne sont pas furtifs ? La belle affaire : où sont les radars des Talibans ?
Si les Américains disposent de systèmes leur permettant d'atteindre des installations situées sous des centaines de mètres de roche, comme les refuges d'Al Qaïda ou les usines "secrètes" où Saddam Hussein développe les futures armes de destruction massive du monde arabe, pourquoi ne le font-ils pas ? Parce que cela révèlerait au monde qu'ils savent déjà produire massivement de l'antimatière, tout simplement. Alors les Américains restent profondément modestes. Sous d'antiques B-52 on accroche des maquettes d'hypersoniques qu'une fusée à poudre propulse à Mach 6 ou 7. Et ça ne marche pas.... "On en est qu'aux essais préliminaires", alors qu'Aurora, avion-espion satellisable caracole à Mach douze depuis 1990. Comment ? Réponse en janvier 2003, dans mon livre. Vous ne serez pas déçu.
Dans les minutes d'un colloque récent (juin 2002) les spécialistes de l'ONERA reproduisent un schéma grossier d'Ajax, l'équivalent Russe d'Aurora, piqué dans un Ciel et Espace de décembre 2000 en concluant que "tout cela est au delà des capacités technologiques de l'époque". Bien sûr, des nôtres. Le cas échéant on désinforme un grand coup. On oriente les curieux vers "l'antigravitation" pour éviter qu'ils ne s'intéressent de trop près à un secteur infiniment plus simple : la MHD. Le Web est bourré de dessins futuristes, construit à coup d'images de synthèse qui sont autant de miroirs au alouette parce que les solutions suggérées ne sont pas fonctionnelles.
Cela me rappelle un lettre que j'avais reçue en 75, émanant d'un ufologue. Ils savait, lui, comment fonctionnaient les ovnis. Je le cite de mémoire :
- A l'intérieur de l'ovni, circulaire, se trouve une table ronde autour de laquelle se trouvent douze adolescents prépubères en état d'extase lévitatique.
L'oeuf de Colomb, quoi.....
La grosse question est de savoir où en sont les choses de l'autre côté de l'Atlantique, dans les "sanctuaires". Et l'erreur à éviter serait d'essayer d'évaluer de loin ces avancées en nous fondant sur nos propres connaissances et nos propres possibilités du moment. Car nous, européens sommes en retard, terriblement en retard. Les experts militaires ont bien du mal à se faire à cette idée. Je vais vous donner des exemples de ce scepticisme (j'aime bien la définition que mon ami Rémy Chauvin donne du sceptique : "c'est celui qui ne se doute de rien"). En 76 j'étais revenu de Livermore où le hasard et la chance m'avaient mis en face des premiers lasers de puissance au verre dopé au néodyme. Puissance unitaire : un térawatt. En France et en Europe général aucun spécialiste du laser ne connaissait la signification du mot térawatt et cette puissance (un million de mégawatts) dépassait leurs capacités imaginatives. A l'époque Gérald Yonas, à Sandia, Nouveau Mexique, m'avait brossé à grands traits les prémices de la Guerre des Etoiles. Scepticime complet chez les militaires français. Je me souviens d'un face à face radiophonique avec un général qui se jouait le rôle de le porte-parole des militaires. Sa réaction :
- Comment voulez-vous qu'un laser fasse mouche sur une cible d'un mètre
à mille kilomètre ? Ceci représente une précision
de pointage d'un microradian.
- Mon général, savez-vous quelle est la précision de pointage
du moindre télescope installé à terre ?
- Non....
- Un microradian.
Et ce brave général de poursuivre : "les contre-mesures,
vis à vis d'armes laser, sont aisées à imaginer. Par exemple
il suffirait de faire tourner les fusées sur elles-mêmes ce qui
empêcherait ces lasers d'endommager leurs viroles".
- Mon général, je crois qu'on ne parle pas des mêmes lasers.
Les puissances que vous évoquez sont de quelle nature ?
- Deux mégawatts, la puissance des actuels lasers à CO2.
- Je crois qu'il vous manque un facteur mille....
- Mais, où avez-vous trouvé de telles informations ?
- Sous votre coude droit. Regardez, vous êtes accoudé sur le dernier
numéro d'Aviation Week and Space Technology. C'est dans l'éditorial
de son rédacteur en chef, Robison.
- Ah... je viens de l'acheter... je n'avais pas encore lu......
Les ingénieurs de l'ONERA "qui clament que les lois de la physique sont les mêmes partout et trouvent les concepts américains farfelus" me font penser à ce général. En fait, la première réaction est :
- On n'a pas de projets de ce genre, donc ça n'existe pas ailleurs, c'est de la science fiction. De plus je ne comprends pas comment ça peut marcher, donc, comme je suis un expert, ça doit être impossible.....
On peut appliquer la même approche à l'analyse du dossier Haarp. Ne faisons pas l'erreur de sous-estimer ce que peuvent faire les autres, tous les autres même si nous sommes incapables de nous mettre dans la course (en matière de vol hypersonique je chiffre le retard des européens à 25 ans, totalement irrattrappables). Ceci étant mes lecteurs connaissent mes opinions (il leur suffit de lire "Les Enfants du Diable", Albin Michel 1995). Je me fous du retard qu'ont les européens en matière de techno-science militaire. Très pragmatiquement, je dirais que nous risquons moins, pour les quelques décennies à venir avec un unique pays, les USA, dominant totalement tous les autres stratégiquement. C'est la compétition qui est dangereuse. Quand l'URSS pouvait encore faire jeu égal avec les yankees nous sommes maintes fois passés à un cheveu de la catastrophe planétaire. Que "JR Ewing" domine la planète est, en comparaison de ce risque majeur, un moindre mal, du moins à très court terme.
Que se passe-t-il en ce moment sur notre bonne vieille Terre ? Un conflit Nord contre Sud s'ébauche, Riches contre Pauvres, lasers de puissance contre gilets explosifs et commandos suicide. Les riches sont aussi égoïstes que les autres êtres humains, manipulateurs, dénués de scrupules comme l'étaient les seigneurs du Moyen-Âge. Alors, de famine en famine, de blocus en blocus, de frustrations en frustrations la Grande Jacquerie Planétaire se prépare. Emettre des jugements de valeur est vain. Le moteur de l'histoire terrestre c'est la connerie avec un grand C. Idéalement ça serait bien que tout le monde soit sinon riche, ou du moins à l'aise, qu'on préserve notre biotope, qu'on partage équitablement les richesses, le savoir et l'énergie, qu'on contrôle la natalité, qu'on maintienne les êtres humains en santé, qu'on leur donne à tous des conditions de vie et de développement décent, qu'on édicte des lois qui préservent les hommes, les femmes et les enfants, qu'on abolisse les divers esclavages. Il y a belle lurette que nous en avons les moyens, économiques, techniques, scientifiques. Cela pourrait se faire si notre planète n'était pas dominée par l'égoïsme le plus primaire, fondé sur des idéologies ou des croyances de tous ordres, et n'était pas le le siège d'un immense gâchis dans tous les domaines, dont ces sommes phénoménales que nous engloutissons dans les projets militaires.
5 octobre 2007 : Je vais modifier un passage, écrit en 2002, suite à une accusation de racisme, formulée par un lecteur utlisant le pseudonume de " psychogun ", de "canon psychologique".
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Le projet Haarppasse par des solutions de haute technicité. Vous y découvriez des concepts nouveaux, dont celui d'une "guerre invisible". Pour en savoir plus, référez vous au rapport du GRIP, signé par Luc Mampaey.
Au lieu de débuter par des généralités sur l'atmosphère terrestre, son ionosphère, la capacité qu'ont les ondes électromagnétique de se réfléchir sur ses différentes couches ou d'être absorbées par elle nous prendrons le problème délibérément à l'envers. Nous avons des sous-marins nucléaires perdus aux quatre coins de la planète et nous voudrions communiquer avec eux. Pas de chance, les ondes radio passent très difficilement à travers l'eau de mer. Seules les très basses fréquences permettent d'atteindre ces fichus sous-marins en plongée.
Votre voisin vous emmerde. Il aime bien, tard dans la nuit, écouter du rock. Vous constatez que vous n'entendez pas la mélodie, seule "les basses" qui vous martèlent la cervelle. Normal. Les hautes fréquences sont absorbées par votre mur, seules les basses fréquences passent.
Pour communiquer avec des sous-marins en plongée il faut donc émettre en très basse fréquence. Aux USA il existe des centres opérationnels situé dansd le Michigan et le Wisconsin et qui, émettant des VLF (very low frequencies) permettent de communiquer avec des sous-marins en plongé. Pour émettre il faut une antenne qui n'est qu'un objet conducteur de l'électricité où se baladent des charges électriques. L'antenne, c'est le "résonateur terminal". Il lui faut pouvoir "résonner" pour la fréquence considérée. Qui dit fréquence dit longueur d'onde. Les antennes correspondant aux très basses fréquences sont aussi associées à des longueurs d'onde très importantes. Donc elles doivent être très grandes. Mais il y a des limites à tout. C'est alors que les ingénieurs militaires se sont dits "est-ce que nous ne pourrions pas utiliser l'ionosphère terrestre comme antenne ?". Ils ont opté pour des couches atmosphériques situées à 275 km où la température ambiante est de 1400°. Haarp est un émetteur d'ondes électromagnétiques qui vise le ciel, qui va donc "secouer" les électrons libres peuplant la couche ionosphérique. Ce faisant il va leur transmettre de l'énergie. La température électronique va pouvoir être élevée de 20 %.
Haarp utilisé pour communiquer avec des sous-marins
Haarp est présenté comme un émetteur d'une puissance relativement modeste, incapable par exemple d'ioniser l'air en haute altitude donc de rivaliser avec le Soleil, qui s'en charge (il s'agit d'une "photo-ionisation"). Les régions où Haarp chauffe le gaz d'électrons, qui constituent un plasma vont subir une altération macroscopique. Ces régions vont se dilater. En modulant cette injection de puissance HF (Haarp est conçu pour fonctionner selon des fréquences à allant de 2,5 à 7 MHZ) on va provoquer des fluctuations de grande ampleur dans l'ionopshère et la transformer en ... antenne pour longueurs d'ondes très importantes, donc fréquences très basses (de 40 hertz à un millième d'Hertz ! ). La portée d'une telle émission se chiffre d'emblée en milliers de kilomètres. Nota bene : des fréquences de l'ordre de 30 Hertz permettent à la fois la communication avec des sous-marins en plongée et la tomographie du sol terrestre. Voilà donc une première motivation pour impulser un projet comme Haarp, qui est de taille : communiquer avec les sous-marins en plongée et détecter les refuges souterrains de l'ennemi. C'est aussi la raison pour laquelle ce projet est implanté au fins fonds de l'Alaska et entièrement contrôlé par les militaires. Bien sûr, on présente cela comme un "projet essentiellement scientifique", une façon d'approfondir nos connaissances sur l'ionosphère, mais c'est une vaste foutaise. Page 69 de son rapport Luc Mampaey écrit : " De toute manière les sous-marins ne se bousculent pas et, là où ils sont, on ne voit pas quel impact pourrait avoir sur notre santé les ondes qui leur sont destinées ". Je crois qu'il commet là une erreur car le vivant est particulièrement sensible aux hautes fréquences modulées en très basse fréquence car les molécules ultra-longues comme l'ADN et l'ARN qu'il contient décodent ces basses fréquences et résonnent. Il y a des décennies qu'on sait que l'ADN est 400 fois plus absorbant que l'eau pour de tels effecteurs. Ainsi les ondes utilisées pour communiquer si innocemment avec les sous-marins en plongée pourraient avoir un impact absolument imprévisible et incontrôlable sur tous les êtres vivants, qu'ils vivent dans la mer, en surface ou au dessus, ou... n'importe où. Les conséquences ? Des mutations génétiques imprévues concernant éventuellement des virus. Pas mal de gens croient que le rétrovirus du Sida aurait été créé lors d'une manipulation génétique fondée sur ce genre de technique. D'autres suggèrent que ces maladies affectant le système d'orientation des cétacés, qui les fait s'échouer par troupeaux entiers sur les côtes pourrait être une conséquences de ces intéressantes expériences de physique.
24 février 2008 : JORN, le HAARP Autralien. Lien
JORN, le HAARP asutralien
*Des baleines mortes aux Canaries victimes de manoeuvres de l'Otan* Photo <http://fr.news.yahoo.com/020925/202/2rlrz.html>
agrandir la photo <http://fr.news.yahoo.com/020925/202/2rlrz.html>
LAS PALMAS (Espagne) (AFP) - L'organisation écologiste Greenpeace a
accusé l'Otan d'être responsable de la mort de seize baleines échouées
sur les côtes de l'archipel espagnol des Canaries, mais le ministère
espagnol de la Défense a assuré qu'il n'était pas prouvé
que ces cétacés aient été victimes de manoeuvres
navales en cours. Greenpeace considère que la mort des seize baleines
échouées est due à des "manoeuvres de l'Otan"
organisées au large des Canaries et a demandé au gouvernement
espagnol l'ouverture d'une enquête à ce sujet, a indiqué
mercredi l'association dans un communiqué publié à Las
Palmas (Canaries). "Le lien entre la mort des baleines et les manoeuvres
de l'Otan est assez clair", a affirmé un porte-parole de Greenpeace,
Sebastian Losada, à l'AFP. "Il est inacceptable que le gouvernement
espagnol autorise ce type de manoeuvres dans ces eaux, un des lieux au monde
où la concentration de
cétacés est la plus forte", a-t-il poursuivi. Les
cétacés retrouvés morts sur la côte ouest des îles
atlantiques de Fuerteventura et Lanzarote souffraient d'hémorragie au
niveau des oreilles et de la bouche, selon le communiqué de Greenpeace.
"Les dégâts causés par la pollution acoustique produite
par le sonar à
haute fréquence qui est employé au cours de ces exercices (militaires)
est bien connu", a précisé Greenpeace. Le gouvernement régional
des Canaries n'a confirmé la mort que de douze baleines à bec
de Cuvier, espèce proche des dauphins, et a demandé l'arrêt
immédiat des opérations militaires, a-t-on appris de source gouvernementale.
"Il n'est pas démontré que la mort des cétacés
ait été causée par ces
manoeuvres", a pour sa part affirmé à l'AFP un porte-parole
du ministère espagnol de la Défense. "Il ne s'agit pas de
manoeuvres de l'Otan proprement dites. Les
manoeuvres Neo Tapon 2002 sont organisées par l'Espagne, qui a invité
onze autres pays ainsi que la flottille permanente de l'Otan en Atlantique.
Les opérations ont commencé le 17 septembre" dans le détroit
de Gibraltar et prendront fin jeudi au large des Canaries, a-t-il précisé.
Une trentaine de navires de guerre, six sous-marins, des forces de l'armée
de l'air étaient invités à participer aux opérations.
En 1989, lors de manoeuvres militaires du même type en face de l'île
de Fuerteventura, 24 cétacés avaient été retrouvés
morts, a annoncé la société espagnole des cétacés
(SEC).
La seconde application de cette fabrication de très basses fréquences par ionosphère interposée est le scannage des sols (selon des fréquences de quelques dizaines d'Hertz). Comme d'habitude ceci pourrait avoir des retombées positives (recherches de ressources naturelles). Mais le but majeur est de déterminer la position des installations souterraines de "l'ennemi". Encore une fois on rappellera les effets tératogènes de telles ondes. La liste des maux que l'on pourrait engendrer avec elles est quasi infinie. Nous avons évoqué des mutations. Mais ces ondes pourraient aussi agir sur les encéphales humains et animaux, modifier des comportements de manière totalement imprévisible. Cela fait un quart de siècle qu'on sait qu'en plaçant la tête dans l'axe du guide d'onde d'un radar dont la porteuse est modulée selon un fréquence se situant dans l'audible on entend nettement la modulation, ce qui n'est excellent ni pour la santé, ni pour le système auditif. Je tiens ce fait du professeur Thourel, aujourd'hui retraité, qui dirigeait en 1976 le DERMO de Toulouse (Département d'Etude et de Recherche sur les Micro-ondes) travaillant principalement pour les militaires. Agir sur les êtres humains avec de la HF modulée ne relève donc nullement de la Science Fiction. Dans le mémoire de Mampaey vous trouverez une liste plus exhastive des diverses applications militaires de ces "armes à micro-ondes" qui constituent une panoplie impressionnante.
Page 51 de son rapport Luc Mampaey évoque un brevet concernant un artificial atmospheric mirror (AM) mettant en jeu deux pinceaux de HF. Tel qu'il est censé fonctionner actuellement, le système Haarp est en dessous du seuil de puissance permettant d'ioniser l'air, d'un facteur 2. Il est évident qu'on n'en restera pas là. Les installation Haarp sont alimentées par des groupes électrogènes, visibles sur le cliché ci-dessus (total 3,6 MW). C'est normal dans l'optique des communications avec les sous-marins. Il faut faire pulser l'ionosphère à de très basses fréquences et suffisamment longtemps pour que le message passe. Donc il faut un fonctionnement qu'on peut assimiler à du continu. En impulsionnel on pourrait d'ores et déjà mettre en jeu des puissances bien plus importantes, se situant d'emblée au niveau du térawatt. Là, on ionise très fortement. La couche d'air ionisé peut alors se comporter comme un miroir, vis à vis d'un nouveau tir d'ondes électromagnétique. On obtient ce qu'on appelle "une arme à énergie dirigée". Et c'est là que nous allons donner une information non présente dans l'étude de Maupaey. On sait depuis longtemps créer un miroir constitué de gaz ionisé de forme quelconque. Pour ce faire il suffit d'utiliser deux sources :
Arme à micro-ondes utilisant un mirroir artificiel constitué de gaz ionisé
La première a une fréquence N1, la seconde une fréquence N2. Dans tout milieu gazeux il existe une fréquence optimale Ni pour créer l'ionisation, qui dépend de sa densité. Envoyons dans l'air deux pinceaux de HF, très directifs, ayant des fréquences N1 et N2 supérieures à Ni et débrouillons-nous pour qu'à l'endroit où nous ferons se croiser ces faisceaux la différence (N1 - N2) soit précisément égale à Ni . Dans ce volume, limité, où les deux faisceaux se croisent, l'air va se trouver fortement ionisé. Ensuite nous effectuons un balayage spatial faisant que cette zone de croisement explore une surface. Celle-ci pourra être plane ou concave. Avec une telle technique il est parfaitement possible de créer en haute altitude un miroir de très grande surface constitué de gaz ionisé, sir lequel pourra se réfléchir un pinceau de micro-ondes émis à partir du sol. Tout cela étant en impulsionnel, cela ne laissera aucune trace. Le milieu pourra se désioniser très rapidement. La signature du phénomène pourra être si fugace que celui-ci ne pourra pas, à la limite, être mis en évidence, ou assez difficilement.
Voilà ce qui est suspendu au dessus de nos têtes,
sous couvert d'études scientifiques qui ne sont que des ... alibis.
Mise à jour en date du 29 août.
Mon ami canadien Norman Mohlant m'a signalé un certain nombre de choses. Dans mon dossier j'ai expliqué comment en agissant sur la haute atmosphère avec des micro-ondes on pouvait transformer celle-ci en antenne émettant des très basses fréquences permettant de communiquer avec des sous-marins en plongée. Norman me signale que ceci avait déjà été testé à l'aube des années soixante-dix par la marine se sa Gracieuse Majesté, à Scapa Flow. La fréquence ionisante étant voisine de 60 MHZ. Ce système avait permis l'envoi de messages en Morse qui s'étaient avérés détectables en n'importe quel point de la planète, y compris sous plusieurs dizaines de mètres d'eau, en mer du Nord. Mentionné selon lui dans un article de Pat Hawker, dans "Wireless World" en date de 1970. En plus de trente années on peut faire du chemin.
Par ailleurs on me communique un mail de Betty Daly-King qui signale qu'une installation de type Haarp a été mise en place en ... Australie, à Pine Gap où un puits de mille mètres de profondeur aurait été construit, peut être pour réaliser une explosion nucléaire souterraine et alimenter le système à micro-ondes par un générateur électrique (à compression de flux) dont l'énergie primaire serait celle d'une bombe A de faible puissance. La puissance du dispositif défierait alors l'imagination et n'aurait plus rien à voir avec les 36 mégawatts des groupes électrogènes installés en Alaska. Enfin l'île de Diego Garcia, sanctuaire 100 % Américain, situé au sud ouest de l'Inde, dans l'océan Indien et évidemment impossible à inspecter serait un autre maillon du dispositif planétaire HAARP.
Récemment (23 sept 2002) un lecteur m'a fait parvenir des séquences animées (Gif animés de 300 K chaque) qui montrent des phénomènes étranges observés à l'aide de satellites météo civils. On y constate des assombrissements rapides et momentanés de très vastes superficies, aux USA, sans qu'il y ait de formations nuageuses. Cecio traduit une modification de l'albedo locale (pouvoir réfléchissant de l'atmopshère). Voir ce dossier &&&
L'interfax News Agency de son côté se fait l'écho de débats ayant eu lieu en août 2002 à la Duma (Assemblée) Russe. Ses membres ont exprimé leur vive inquiétude vis à vis du développement de ce nouveau type d'arme en évoquant "un saut qualitatif considérable en matière d'armements". Le rapporteur à la Douma a précisé que les Etats-Unis avaient prévu d'installer trois sites de ce type. Celui d'Alsaka devrait être pleinement opérationnel en 2003. Le second serait implanté au Groënland et le troisième en Norvège. Le communiqué évoque les différentes façons d'exploiter ces installations à des fins militaires :
- Perturber les communication radio
- Dérégler les installations de contrôle des avions et des
missiles.
- Mettre à distance HS des installations électriques civiles.
- Provoquer des incendies dans des installations industrielles.
- Agir de façon néfaste sur l'état mental de vastes groupes
humains.
Les rapporteur à la Douma a immédiatement
demandé que des tels projets soient immédiatement stoppés,
appel qui a été contresigné par 90 députés
et transmis à l'ONU, à différents organismes internationaux,
ainsi qu'aux parlements et aux leaders des pays adhérant à l'ONU.
Ajout en date du 30 août 2002 :
André-Jacques Holbecq me fait
suite un article de Sergey Yugov , paru dans la Parvda du 27 aout. Je reproduis
d'abord le texte en anglais :
PENTAGON TO TEST NEW BOMB ON IRAQ
A bomb has not been completed, but the USA is eager to test it
The Pentagon is going to test a new bomb in Iraq. This is a radiological bomb, the so-called E-bomb. The new weapon will allow disable electronic systems and power supply systems. The E-bomb can be used to strike chemical and biological objects, avoiding human victims. Needless to mention anything about the Americans art of striking certain objects.
The radiological bomb was developed at a secret base in the southwest of England. The bomb creates high-frequency radio waves, which work like an electromagnetic impulse of an A-bomb blast. This wave is capable of penetrating underground bunkers, where Saddam is allegedly hiding his chemical and biological weapons. The radio impulse will easily penetrate ventilation and cable systems. The bomb puts such systems out of operation, and it will not be possible to efficiently use weapons that are stored in these bunkers.
Washington continues to push in this direction.. The development of the new bomb has not been completed yet, but the US Defense Department intends to purchase and use it already, and to test it, of course.
The Daily Telegraph wrote that the civil population will be safe and sound. The bomb can have a very limited range. It can be delivered on a missile, a smart bomb, or on unmanned planes. When a bomb approaches its target, its condensers receive discharges, sending a powerful wave of energy. It will be possible to disable an entire infrastructure, disturbing television and radio broadcasts.
The mentioned newspaper did not dwell much on
the subject of the new British weapon. The Daily Telegraph emphasized the fact
that Iraq and its regime is a monster. The author of that article was definitely
doing a job that someone ordered him to do. It was in particular written that
Iraq might possess tons of poisons and many weapons of of mass destruction.
There were 100 bolutism-infected bombs produced in Iraq before the Gulf War,
as well as 50 anthrax bombs. The author of the article also wrote that Iraq
possesses chemical substances that can kill a human in about 15 minutes. The
list goes on with mustard gas and psychotropic substances. All of these things
cause horrible pain to the human body. The victim suffers from nausea, terrible
headaches, and suffocation. The article in the Daily Telegraph gives a detailed
description of each disease and all of its symptoms. This "article"
looks as if it was written for a medical journal.
Voici ensuite sa traduction, suivie de mes commentaires.
LE PENTAGONE S'APPRETE A TESTER UNE NOUVELLE BOMBE EN IRAK.
Les USA sont impatients de tester cet engin. Cette bombe est qualifiée de "radiologique" et surnommée E-bombe (par "radiologique" il faudrait à mon avis entendre que la bombe agirait à l'aide d'un rayonnement et le fait que la lettre E figure que ce rayonnement puisse être de nature "électrique" ou "électromagnétique", bref que cet engin soit une déclinaison des armes "EMP", electromagnetic pulse). Cette nouvelle arme devrait être capable de mettre hors service des systèmes électroniques ou des générateurs de puissance (bref, tout ce qui est électrique ou électromagnétique). Cette "E-bomb" pourrait être utilisée pour s'en prendre à des armements de type chimique ou bactériologique, en évitant de créer des victimes humaines. Inutile de rappeler l'art qui'on les Américains de frapper certaines cibles. ( comme on le verra ces opérations viseraient à frapper des installations souterraines irakiennes. Dans ce cas là on voit mal comment les Américains se soucieraient des "dommages collatéraux". En effet si certains techniciens ou ouvriers présents dans ces installations pouvaient être victimes de ces actions on serait en droit de leur demander "monvieux, qu'est-ce que vous foutiez là ?". A propos de telles frappes, leur mise en oeuvre est totalement réaliste. Les américains sont parfaitement capable de diger des "bombes intelligentes" vers tous les orifices des installations de Saddam, voire des drones, capables de prénétrer par des orifices de taille d'un vasistas).
Cette bombe "radiologique" (à effet de rayonnement) aurait été testée dans une base secrète située dans le sud de l'Angleterre (ceci nous ramène au dossier des Crop Circles). La bombe crée des ondes radio en haute fréquence qui fonctionnent comme l'impulsion électromagnétique qui accompagne l'explosion d'une bombe A. L'onde est capable de pénétrer sous terre dans des bunkers souterrains (cela pourrait signifier que les américains et les Anglais auraient su exploiter la conversion de cette énergie en basse fréquence, inférieure à quelques dizaines d'hertz). L'impulsion radio (électromagnétique) peut aisément suivre les canaux de ventilation et les câbles (il est peu probable que les ingénieurs de Saddam aient prévu un blindage électromagnétique complet entourant leurs installations). Cette bombe mettra hors d'usage toutes les armes qui pourraient être entreposées dans ces bunkers.
Washington continue de pousser dans cette direction. Le développement de cette nouvelle arme ne serait pas totalement achevé mais le département de la Défense américains envisagerait son développement et le fait de la tester en conditions réelles (il y a gros à penser que l'arme est opérationnelle depuis belles lurette, de même que beaucoup d'autres dont nous ignorons encore l'existence).
Le Daily Telegraph écrit quant à lui que les populations civiles n'auraient rien à craindre de telles actions (on n'en dira pas aurant des techniciens qui seront dans les bunkers de Saddam). Cette bombe pourrait avoir un rayon d'action très limité. Quand la bombe arrive à proximité ses condensateurs créent une violente décharge qui entraîne l'émission d'une onde contenant une quantité importante d'énergie (cette source d'énergie primaire correspondrait-elle à des "condensateurs". C'est possible au sens où actuellement sont menées des recherches où de nouveaux condensateurs stockeraient l'énergie "en volume" et non plus "en surface", avec une densité puissance sur poids sans aucune commune mesure avec celle de condensateurs classiques, où celle-ci reste faible. On sait que des armes à micro-ondes emportées par des missiles Tomawhak auraient été essayés lors de la guerre du Golfe. Là, l'énergie aurait été fournie par une explosif chimique, système classique du montage "à compression de champ". Il n'est pas exclu que cette énergie primaire puisse être fournie par une mini-charge à antimatière, émanant d'un cristal dopé. Mais, à vrai dire, si les galeries des bunkers de Saddam présentaient après de telles attaques une radioactivité induite résiduelle, qui viendrait s'en plaindre ? Ceci serait du "à des effets secondaires de ces armes radiologiques". A moins que ça soit "touche pas à mon bunker "). Grâce à cela il serait possible de mettre HS un centre complet, ce qui aurait également pour effret de perturber les communications par radio et télévision (je me souviens au passage de mes premiers essais d'usage de micro-ondes dans un appartement d'Aix-en-Provence, en 1980, liés à mes travaux de MHD, expériences menées dans une chambre de bonne de 12 mètres carrés. A chaque fois je perturbais les réceptions de télévision dans l'ensemble du quartier. Personne ne se douta jamais que j'étais à l'origine du phénomène, d'autant plus que chaque matin je m'empressais de dire aux gens du quartier "vous avez vu, qu'est-ce qui est arrivé avec la télévision, hier ? J'avais des parasites plein mon écran !". Une des retombées des actions américaines pourrait- être de priver Saddam de toute possibilité d'expression médiatique).
Le journal mentionné n'a guère insisté
à propos de cette nouvelle arme dont les Anglais se seraient au passage
trouvés dotés (il ne faut guère
s'étonner que l'Angleterre se trouve mêlée à ce type
de projet. Comme rappelé par mon ami Normal Mohlant, les Anglais, dès
1970, ont joué un rôle de pionniers dans ce domaine. N'oublions
pas non plus qu'ils furent également des pionniers dans le domaine du
radar, pendant la seconde guerre mondiale). Le Daily telegraph
a insisté sur le caractère monstrueux du régime de Bagdad.
Apparemment l'auteur de l'article disant ce qu'on lui avait dit de dire. Il
était en particulier dit que l'Irak possédait des tonnes de produits
hautement toxiques ainsi que de nombreuses armes de destruction massive. Cent
bombes à la toxine bolutinique et 50 bombes à anthrax furent produites
avant la guerre du Golfe. L'auteur dit également que l'Irak possèderait
des armes chimiques capable de tuer un être humain en 15 minutes. La liste
mentionnée passe par le gaz moutarde ainsi que par différentes
substances psychotropes, toutes ces choses étant capable de causer à
l'être humain des dommages abominables. Les victimes ressentiraient alors
des nausées, des maux de tête terribles et étoufferaient.
L'article du Daily Telegraph donne la liste de ces différents effets
et donne l'impression d'avoir été composé pour une revue
de médecine. (Il semble en effet que les inspecteurs
qui parcoururent le pays après la déroute du dictateur trouvèrent
ces bombes. On sait que Saddam Hussein fit usage d'armes chimiques très
efficaces lors de bombardements contre des villages Kurdes. L'article prépare
en quelque sorte l'opnion à ce type d'intervention américaine
contre l'Irak. Nous sommes personnellement convaincus que cette intervention
est motivée étant donnée la personnalité totalement
paranoïaque de l'individu. La guerre du Golfe était censée
avoir mis à zéro le potentiel technico-scientifique de l'Irak.
Le blocus pétrolier devait le priver de toutes ressources. Dans les faits
on sait que Saddam s'est toujours débrouillé pour écouler
assez de pétrole en douce, en utilisant des complicités diverses
et variées, pour pouvoir continuer à financer la mise au point
d'armements de destructions massive destinés aux pays arabes. Il n'y
a pas que le nucléaire. La panoplie est vaste. Il n'est pas impossible
non plus que l'Arabie Saoudite, championne toutes catégories en matière
de double jeu, lui ait assuré un finacement complémentaire. Dans
les faits la seule victime de l'embargo frappant l'Irak a été
sa population civile, dont Saddam n'a cure. Cet état de fait lui a permis
de montrer dans quel triste état les mesures prises contre son pays avaient
réduit cette population. Le bourrage de crâne en Irak est tel que
beaucoup de gens dans le pays au lieu de réclamer, ce qui était
demandé par l'ONU, que Saddam ouvre ses centres de recherche militaire
à des inspecteurs internationaux, tournent en fait leur ressentiment
contre le responsable absolue : les Etats-Unis, le "Grand Satan" pour
les Iraniens. On sait que la guerre du Golfe a été en fait provoquée
par les Etats-Unis parce que Saddam était à quelques années
de pouvoir déboucher sur une bombe A opérationnelle. On fit croire
au dictateur que s'il envahissait la partie frontalière du Koweit qu'il
revendiquait de longue date, personne ne bougerait face à ces "réglements
de compte entre Arabes" et il fut assez bête pour le croire. On connaît
la suite. Pourquoi arrêta-t-on le général Schwarzskof sur
la route de Bagdad ? Sans doute parce que les Américains, piètres
politiques, n'avaient prévu aucune politique de rechange en Irak, pays
qui aurait pu dans ces condition devenir une proie pour les intégristes
Chiites Iraniens. Ceci étant, la situation n'a pas bien évolué
et l'embargo s'est révélé inefficace. On peut imaginer
les pressions secrètes qui doivent actuellement s'exercer sur les chancelleries
européennes au cas où ces pays se mettraient aux côtés
des USA dans ce qu'on pourrait qualifier "d'opération de police".
Les menaces de vagues d'attentats doivent pleuvoir. Décidément,
le Moyen-Orient est la poudrière de la planète).
Le
lecteur trouvera toutes les explications possibles dans un dossier consacré
à ces " E-bombs ".
Autres informations dans le dossier consacré aux "Non-Lethal Weapons", au "armes non-mortelles".
A tout hasard cette nouvelle de fin septembre 2002, que m'a fait suivre Esculape :
SANTIAGO, 23 sept (AFP)
- Une coupure d'électricité, à l'origine encore indéterminée,
a sérieusement affecté lundi près de la moitié du
Chili, entraînant une situation chaotique à Santiago et dans plusieurs
villes du pays.
"Nous ne savons pas encore ce qui l'a provoquée, nous enquêtons pour savoir s'il s'agit de défaillances techniques ou de facteurs externes" au réseau de production et d'acheminement de l'électricité, a déclaré à la presse la secrétaire de la Commission Nationale de l'Energie, Vivian Blanlot.
La coupure d'électricité a commencé en fin de matinée, paralysant à moitié l'activité sur quelque 2.000 km de territoire chilien, de la région de Taltal, au nord, à Puerto Montt, au sud.
Trois heures après la défaillance du système énergétique, l'électricité n'était rétablie que de façon partielle et sporadique dans quelques quartiers de la capitale et une partie des 20 villes de province affectées, dont les grands centres urbains de Valparaiso-Vina del Mar, à 110 km à l'ouest de Santiago, et de Concepcion-Talcahuano, à 500 km au sud de la capitale.
Les régions privées d'électricité abritent plus de sept des quinze millions de Chiliens.
Il faut se souvenir des coupures de courant qui ont été, dans le passé, imputées au phénomène OVNI. Celui-ci aurait-il "bon dos" ? On est dans l'indécidable, mais quand on voit ce qui est en train d'émerger avec cette histoire de crop circles (qui ont commencé en 1981 !), quand on réalise que cela fait peut être des décennies que les militaires jouent avec notre ionosphère, expérimentent des gadgets électromagnétiques, on ne saurait tirer de conclusions définitives en raisonnant, comme disait jadis maître Panglosse, "des effets et des causes". Citons au passage un des phrases du maître, dont on a l'impression qu'elle sert de fil conducteur à l'histoire humaine :
Ce sont les petits malheurs particuliers qui font le grand
bien général,
de sorte que plus il y a de petits malheurs particuliers et
meilleures sont les choses dans le meilleur des mondes possibles.
4 mai 2004 : Signalé par un lecteur, M. Rudolf Wehrung, deux articles sur le lien http://perso.wanadoo.fr/lemiroir/psytech.htm sur les possibilités de stimulation électrique du cerveau
4 février 2005 : Haarp crée pour la première fois une aurore boréale visible à l'oeil nu. Lien
8 septembre 2005, transmis par Pierre Gravel, du Québec .
Le Département de la Défense US accorde des crédits pour accroître la puissance de HAARP :
Source : http://www.dod.gov/contracts/2004/ct20040419.html ( dod = Departement of Défense )
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: Un article intéressant sur l'action sur le cerveau
6 octobre 2005
Source : : http://members.aol.com/ccapt2001/HAARP.htm
En incitant les lecteurs à se reporter à ce lien, je reproduis ce texte, extrait du chapitre 22 du livre :
" Les anges ne jouent pas de cette Haarp "
Edition:
Louise Courteau, éditrice inc.
481, Chemin du Lac St-Louis Est
St-Zénon, Québec, Canada
J0K 3N0
ISBN:2-89239-249-7
Auteurs : Jeanne Manning, journaliste et Dr Nick Begich, homme politique de l’Alaska. Ed. Louise Courteau, Juin 2003, 400 pages, qui me paraît très important.
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Remarque : Personnellement je suis convaincu que des pays commes les Etats-Unis et éventuellement la Russie, l'ex-URSS ont développé et testé des techniques de " mind control " à échelle de vastes groupes de populations. Je pense que ces armes, car ce sont des armes, n'ont pas encore été utilisées à grande échelle. Je crois aussi que le système Haarp, auquel j'ai porté attention dès 2002 fait partie d'un tel dispositif et que le vecteur de ce contrôle mental pourrait être constitué par des micro-ondes à haute fréquences, modulées en très basse fréquence ( ces fréquences encéphaliques mentionnées plus haut ). On peut penser aussi à la délivrances de telles fréquences modulées par des téléphones portables, dotés de modules "dormants" pouvant être activés à distance. Un récepteur spécifique pourrait être constitué par des puces implantées dans le cerveau de certains humains. Dans toutes ces directions on a déjà quitté depuis longtemps le domaine de la science-fiction.
Il est tout à fait vraisemblable que les pays qui ont très tôt, comme les Etats-Unis, pris conscience de la matérialité du phénomène ovni, où ces actions à distance sur le mental des témoins fait abondemment partie du dossier, aient poussé dès cette époque ces recherches.
De nos jours il est capital, quand on détient des technologies à applications militaires pouvant permettre d'acquérir une supériorité importante sur l'adversaire, de conserver le plus longtemps possible le secret sur cet état de fait, même si on meurt d'envie d'utiliser de tels gadgets. Les hommes seraient sans doute très surpris s'ils avaient connaissance de ces panoplies d'armes dont l'existence est gardée soigneusement secrète, y compris en désinformant intensivement de vastes groupes humains. Je pense par exemple à la supériorité de confère aux Etats Unis le fait de détenir une flotte d'engins hypersoniques mettant en oeuvre la MHD, connus sous le nom générique d'Aurora ( j'ai consacré un ouvrage à ce sujet ) . Plus les années passent et plus l'étrangeté de l'absence de successeur à l'avion-espion BlackBird ( SR71 ou A12, selon le dénominations ) ou l'absurdité de la mise en fonction de bombardiers subsoniques comme les B2 s'imposent comme une évidence, qu'aucune presse spécialisée ne relève.
Les armes de " mind control ", de " contrôle mental " font partie de cette panoplie. L'émergence des "armes non-léthales" comme le Taser ou comme ces armes à énergie dirigées infligeant aux individus touchés des douleurs insoutenables lorsqu'ils sont touchés par l'émission d'ondes électromagnétiques qui émanent du plasma se formant sur leur corps, au point d'impact ne constituent que la partie émergée de l'iceberg.
Il est regrettable de constater que ces technologies qui pourraient avoir des vertus curatives, comme signalé dans le texte cité, soient conçues pour faire le plus de mal possible à "l'adversaire". Bien évidemment, si un effecteur de ce genre est susceptible de guérir des affections il est aussi capable d'en créer, de toutes sortes et de tous niveaux de gravité.
L'ADN est très réceptif à l'effecteur "micro-ondes pulsées en très basse fréquence". On sait depuis 30 ans que les chaînes longues de l'ADN, en se comportant comme de véritables antennes sensibles aux très basses fréquences est 400 fois plus réceptif que la molécule d'eau, portant polarisée. En fait l'eau absorbe les micro-ondes mais s'avère pratiquement insensible à la modulation basse ou très basse fréquence. Ce type d'effecteur est utilisé pour créer des manipulations génétiques à objectifs militaires, dans un véritable jeu d'apprenti-sorcier, digne d'un film de Frankenstein. J'avais essayé de sensibiliser un groupe de canérologues à ces techniques il y a une quinzaine d'années. Mais chez eux " les ondes électromagnétiques " gardaient un côté "guérisseur " et ils recevaient ces propos avec la plus grande méfiance. L'un d'eux me cita les travaux d'un Suédois qui avait tenté d'utilisé de la HF pour attaquer les celules cancéreuses. Celles-ci sont effet plus vascularisées que les autres cellules du même type, en règle générale, donc absorbant plus efficacement de la HF. La méthode curative consistait donc à placer un individu atteinbt d'un cancer dans un four à micro-ondes. Les cellules cancéreuses, en s'échauffant plus vite que les autres, étaient les premières détriites. Des essais furent effectués sur des sujets fortement métastasés et les compte-rendus indiquent que nombre de métastases avaient pu ainsi être éliminées. Le problème est d'arrêter la HF avant que le malade ne soit ... cuit.
J'essayais à cette époque de faire comprendre à ces gens que ce mode d'attaque des tumeurs par micro-ondes pulsées n'avait aucun rapport avec cette technique brutale de "cuisson sélectives". Sans succès. J'abandonnais quand j'eus entre les mains un rapport émanant de la DRET ( devenue aujourd'hui la DGA ou Délégation Générale à l'Armement ou Recherche Militaire française ), intitulé "évocation des cancers", où ces techniques étaient explicitement proposées pour créer des cancers chez les "cibles".
On comprend l'idée générale. Le corps humain est transparent vis à vis de HF de fréquence élevée, comme les fréquences radar ( quels gigahertz, typiquement ). L'ADN est réceptif à la très basse fréquence qui module une telle "porteuse". On peut donc en utilisant une telle technique attaquer certaines molécules très longues, spécifiquement. Ceci pourrait s'avérer intéressant pour un rétro-virus comme le SIDA, par définition protégé de toute attaque biochimique par le lymphocyte où celui-ci a trouvé refuge. Le virus du SIDA c'est "le meurtier réfugié dans le commissariat de police". Si la molécule d'ADN du SIDA présentait un point de fragilité pour une très basse fréquence extrêmement spécifique ( l'action sultant d'un phénomène de mise en résonance ) on pourrait la brise et la détruire au sein même des lymphocytes où elles ont trouvé refuge, la paroi de ceux-ci étant perméable à la porteuse en 3 gigahertz..
Inversement, en chatouillant des molécules d'ADN avec un tel effecteur on peut provoquer des réarrangements, des mutations, créer de nouveaux virus. Il est vraisemblable que le virus du Sida pourrait avoir été créé de cette manière. Ses concepteurs ayant voulu étudier la propagation de ce nouveau virus, dont ils ignoraient sans doute la nocivité à long terme pour l'homme, auraient testé la contamination in situ, au Zaïre, d'un rétrovirus commensal du singe vert, ainsi modifié. Le singe vert ou "grisey" est en fait un singe de petite taille, très courant en Afrique.
Singe vert
Cette histoire nous a été contée de manière "romancée" à travers le film " Alerte " avec Dustin Hoffmann. Un film de Wolfang Petersen, sorti en 1995.
En haut et à droite, l'acteur principal du film.
En maniant comme des apprentis-sorciers ces micro-ondes pulsées et en arrosant avec celles-ci de vastes territoires les militaires sont susceptibles de créer absolument .. n'importe quoi. Des dommages écologiques importants. Ils peuvent provoquer l'apparition de nouvelles maladies, par exemples.
J'ai déjà évoqué
ailleurs, je crois, une autre des multiples applications de systèmes
comme Haarp. On sait qu'il s'avère très difficile de communiquer
par ondes radio avec des sous-marins en plongée. L'eau ne laisse passer
que les très basses fréquences. Or plus la fréquence
est basse, plus la dimension de l'antenne émettrice doit être
importante. En France d'immenses antennes ont été installées
sur le plateau de Valensole, dans le sud de la France, pour communiquer à
grande distance avec les sous-marins censés constituer "notre
force de dissuasion". Un système plus efficace consiste à
utiliser comme antennes de vastes couches ionisées, créées
en altitude à l'aide de sustèmes émetteurs de HD comme
Haarp. C'était vraisemblablement sa finalité première.
En agissant sur cette couche ionisée on dispose alors d'une antenne
qui peut mesurer plusieurs centaines de kilomètres de diamètre.
Les ondes émises peuvent alors pénétrer à grande
profondeur dans le milieu marin, mais nous ignorons quels dégâts
ces ondes sont susceptibles d'engendrer dans la flore et la faune. Un autre
moyen de communication, à plus courte distance, entre sous-marins ou
entre un sous-marin et un bateau de surface est le sonar. Des émissions
puissantes créent alors des hémorragies dans l'oreille interne
des cétacés qui, provés du dystème qui leur permet
de s'orienter cessent de "voir" les côtes et s'y échouent.
A propos des armes électromagnétiques, v oir aussi : http://members.aol.com/ccapt2001/bibliographie.html
HAARP agit-il déjà sur le climat ?
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